CONVOYAGE
CASTETS - SAINT JEAN DE LOSNE
(Par le canal latéral à la Garonne, le canal du Midi, le canal Rhône à Sète, le Rhône, la Saône)
Lire de bas en haut, pour suivre le sens du voyage
| A Jean-Pierre |
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| La Presse en parle | |||
| FLUVIAL N° 209 - Février 2011 | Entente Marine : le souci du beau et du bien fait | ||
| FLUVIAL N° 209 - Février 2011 | Kohéos : un nouveau... Modèle ! | ||
Merci à Patrick Joint-Lambert pour l'autorisation de publication |
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J'en profite pour d'aller saluer David de Blanquart Yachting puis je découvre la balade des mariniers. Accompagnez moi en scannant ce QRcode |
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| Au soleil couchant, j'entre dans le port de Saint Usage, chez H2O. Le bateau est à quai. Demain je rencontrerai Nicolas pour lui remettre les clefs. Encore un convoyage réussi ! |  |
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La citée de Saint-Jean-de-Losne est toujours un régal lorsqu'on arrive en fin de soirée | ||
| Nous ignorons le bourg de Seurre, préférant toucher au but le soir même |  |
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Pas le temps d'aller admirer la petite citée de Verdun-sur-le-Doubs | ||
| Les restants d'une ancienne passerelle enjambant la Saône |  |
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Encore un matin ou le départ ne se fera que vers 11 heures afin que le brouillard se lève? Je passe devant la dernière écluse du canal du Centre et je devrais y revenir prochainement... | ||
| Le jour décline, mais nous serons au port de Chalon-sur-Saône avant la nuit. Pari gagné, mais de justesse |  |
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On peut admirer quelques belles maisons tournées vers la rivière | ||
| Nous passons devant le port de Tournus. Calculs, recalcules, finalement je prends la décision de monter encore un peu la Saône |  |
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Puis c'est la Seille qui me tend les bras... Encore une fois je remets cette navigation à une autre fois. Toujours pas de découverte du marché de Louhans | ||
| A l'embranchement, en direction de Pont de Vaux, le bateau passagers est amarré là. Y-a-t-il toujours un problème sur une des écluses ? |  |
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Au moment de partir, vers 8 heures, le brouillard était épais. Il ne se lèvera que vers 11 heures retardant notre départ | ||
| Finalement, je choisis de faire halte à Saint-Laurent-sur-Saône pour avoir vue sur Mâcon et le pont Saint Laurent |  |
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Belleville-sur-Saône, il y a bien longtemps j'y avais fait halte et y avais dégusté une friture de Saône. La guinguette semble avoir pris de l’ampleur | ||
| La Grange du Diable : cette bâtisse de 500 m2 où l'on battait autrefois le grain, accueillit au 12ème siècle une abbaye qui recueillait les filles de Croisés morts en terre sainte. La zone étant inondable, elles partirent et furent remplacées au début du 14ème siècle par des contrebandiers et des braconniers. |  |
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Trop tôt pour faire halte à Trévoux, petit souvenir avec mes amis Claude et Henri sur un certain Ita Est | ||
| Collonges-au-Mont-Dor, derrière les arbres une maison tout en couleur, certains auront reconnu le restaurant de Paul Bocuse (Voir la carte) |  |
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Un petit doute en montant la Saône, au niveau de l'île Barbe. En rive droite, deux rectangles jaunes, finalement une flèche cachée dans les branchages nous indique le passage en rive gauche | ||
| Peu de temps après le petit-déjeuner, nous quittons Lyon. La fresque des Lyonnais célèbres attire nos yeux. Ce sont plus d’une centaine de fresques qui recouvrent les murs de Lyon et retracent ainsi son histoire |  |
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J'amarre le Kohéos, sur la Saône, non loin de la place Bellecour, à deux pas des bouchons et sous la protection de Notre Dame de Fourvière | ||
| ... tantôt en orange, en verre ou métallique |  |
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Les anciens docks ont été relookés tantôt en vert... | ||
| Puis c'est l'arrivée sur Lyon au confluent du Rhône et de la Saône que nous embouquons |  |
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Notre dernière écluse du Rhône, Pierre-Bénite, que nous partagerons avec le porte-conteneurs, Guadiana, de 135 mètres dans l'écluse de 190 mètres | ||
| Derrière le bâtiment du C.N.R. (Compagnie National du Rhône) se trouvent peut-être les plus anciens vignobles de toute la France, les prestigieux Côte Rôtie |  |
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Saurez-vous retrouver ce détail du château d'Ampuis ? |
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| En aval des Roches-de-Condrieu, la zone chimique se reflète dans le Rhône |  |
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Le ponton de Chavanay nous fait un clin d’œil ! Je n'avais pas osé monter jusque là, de peur qu'il n'existe plus |
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| A l'écluse de Sablons, le bateau Laguepe, battant pavillon maltais nous précède. A la sortie, il nous laisse sur place, pas le même moteur. Nous le retrouverons au quai de Sablaise-Sablons où nous passerons la nuit |  |
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A Tain L'Hermitage, les quatre grands représentants : la maison M. Chapoutier, la maison Paul Jaboulet Aîné, la Cave de Tain et la maison Delas vous feront déguster L’Hermitage et le Crozes-Hermitage. Un autre fleuron de cette cité est le célèbre chocolatier Valrhona |
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| Ce Bounty géant sort de l'écluse. Le feu passe au vert à mon tour d'utiliser l'écluse de Bourg-Les-Valence |  |
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Comme prévu nous quittons le port, sous l’œil de Cathy et Jean. Après cette photo, ils seront avalant, direction leur port d'hivernage | ||
| La partie de l'époque médiévale construite à même le roc et ses remparts sont bien visibles du fleuve. Puis c'est l'arrivée au port de l’Épervière de Valence, où nous passerons une agréable soirée avec des amis. |  |
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Le pont de Charmes-Étoile est en travaux. Une nouvelle voie est en construction. On n'y repassera pour voir l'avancé des travaux | ||
| Nous faisons route avec un bateau amarré à Aigues-Mortes, testant le Rhône, jusqu'à Lyon, pour de futurs voyages |  |
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Au pied du village de La Voulte, nous regrettons, encore, que rien n'est fait pour les escales des plaisanciers | ||
| Nous passons devant la centrale nucléaire de Cruas et se remémorons avec des amis d'un certain 1er avril. Soudain, un bruit étrange à l'arrière du bateau. Petit moment de stress, ralentissement ! Déplacement du matelas pour entendre que c'est bien au niveau de l'hélice ou du gouvernail... Barre à gauche toute... Miracle de nouveau le silence, sûrement un bois coincé prés de l'hélice. Ouf ! |  |
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Un peu de soleil, quelques gouttes de pluie tout est réuni pour former un arc en ciel au dessus de l'écluse de Châteauneuf-du-Rhône, qui sera notre étape en amont | ||
| Le pont du Robinet nous ouvre la porte du "Défilé de Donzère" avec ses falaises calcaires présentes de chaque côté |  |
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J'espère voir passer un T.G.V sur le viaduc de Pierrlatte, hélas pas de photo avec. Lorsque je passe dessous, j'entends son passage. Ah, la S.N.CF. toujours en retard... | ||
| Peu après nous passons devant la centrale de Tricastin, possédant quatre réacteurs, mais aussi deux éoliennes... |  |
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Pour franchir la centrale hydroélectrique de Bollène, vous devrez utiliser l’écluse qui fut à son époque la plus haute du monde, vingt deux mètres cinquante, avec ses exceptionnelles portes convexes, monuments métalliques de 14,5 m de haut | ||
| A Saint Étienne des Sorts, la coopérative viticole propose toujours son Côtes du Rhône Village. La ville a remis le ponton pour s'y amarrer |  |
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Puis c'est au tour du "Van Gogh" de la compagnie CroisiEurope Dominique et Bern cela vous rappelle peut-être quelque chose ? |
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| Face au centre d'énergie atomique de Marcoule nous croisons le bateau hydrographique le "Frédéric Mistral" de la C.N.R rattaché au Centre d’analyse comportementale des ouvrages hydrauliques (CACOH) |  |
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Il fait déjà nuit... Les téléphones sonnent... inquiets ! Ils est vingt heures trente, lorsque je m'amarre sous l'écluse de Caderousse | ||
| Le château de l'Hers est en restauration. Châteauneuf-du-Pape nous tend les bras. Hélas pas de ponton plaisance pour faire le plein de nos cales |  |
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Puis c'est l'écluse d'Avignon, entre l'attente et le passage nous aurons mis une heure quinze. Mauvaise estimation de la tombée de la nuit... | ||
| Au loin j'aperçois la cité des Papes. Cette fois-ci encore pas l'heure pour y faire escale |  |
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Précédés par un plaisancier nous pénétrons dans l'écluse de Beaucaire. Vingt minutes plus tard nous en sortons | ||
| Malgré les tourbillons sous le pont de Tarascon, nous pouvons admirer le château |  |
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Nous sommes déjà sur le Petit Rhône, de bon matin, ayant passé l'écluse de Saint Gilles à 8 heures. Les portes se ferment et s'ouvrent, nous avons dû monter de 5 centimètres | ||
| Je renonce à passer l'écluse de Saint-Gilles, car trop tard pour commencer à remonter le petit Rhône. Je m'accoste à une barge à la bifurcation pour atteindre Beaucaire |  |
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Couleur local |
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Couleur local |
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Nous prenons la déviation, qui évite Aigues-Mortes, et nous permet d'admirer la tour Carbonnière | ||
| Les portes de garde du Vidourle sont ouvertes, nous traversons le ruisseau avec un petit courant |  |
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Nous passons devant les cabanes du Roc et c'est toujours un ravissement. | ||
| La journée commence avec des nuages et du grand vent. Opération conduite intérieure |  |
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Nous patienterons jusqu'à seize heures pour passer le pont de Frontignan et se réamarrer après pour y passer la nuit. | ||
| Un petit bateau vient à notre rencontre pour nous aider à repérer le chenal de sortie, merci à Henri et Momo encore une belle rencontre. |  |
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Puis c'est parti pour deux heures de traversée de l'étang de Thau. Le vent forcira pour atteindre 4 sur l'échelle de Beaufort | ||
| Nous sommes retardé à l'écluse du Bagnas. Un responsable V.N.F. viendra vérifier que les lentilles d'eau ne sont pas une menace pour l'étang de Thau. |  |
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Nous sommes dans l'écluse Ronde d'Agde, à 9 heures. Un premier bateau descend par le canalet vers le chantier Allemand, nous, nous rejoindrons l'Hérault pour continuer notre voyage. | ||
| Après avoir traversé les ouvrages du Libron, nous arrivons à Agde sous la bâtisse de V.N.F. La désolation ! |  |
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Puis c'est la descente des six écluses de Fonsérannes. Surprise, les membres du club de randonnées de Castets, nous regardent passer. Coïncidence ! | ||
| Nous franchissons le tunnel de Malpas, encore une fois l'ermite n'est pas là. Claude et Marie-Claude ne pourront laisser leur offrande |  |
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Une idée pour Éric et Isabelle pour rendre Simonszand autonome | ||
| Sans les platanes, la vue autour de Capestang est magnifique |  |
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Je passe le dernier pont de la journée, celui de Capestang, sous la pluie et ne récupère pas de petit morceau de pierre | ||
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sans oublier la bibliothèque aux 50 000 livres, le "trouve tout du livre" | ||
| Un arrêt au Somail, pour apprécier le vieux pont, son palmier et son épicerie sur l'eau... |  |
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Torrent du Répudre - Premier pont-canal Invention due au génie de P.P. Riquet - 1676
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Nous faisons halte à Paraza : l'église du XVIIème siècle et vue sur les Pyrénées |
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| A l'écluse de l'Oignon, un autre artiste expose ses œuvres |  |
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Un appel au don a été lancé par Voies navigables de France pour la plantation de 2.300 arbres au bord du Canal du Midi. Force est de constater que dans certaines zones pas loin de 50% n'ont pas repris. C'est attristant ! | ||
| Impossible de passer par l'écluse de l'Aiguille, sans faire une photo des "œuvres d'art" |  |
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A la triple écluse de Fonfile, N° 48, l'éclusier fait ce qu'il peut pour pouvoir faire, au mieux, pour passer les bateaux. Lorsqu'on arrive, à18 heures, plus de neuf bateaux attentent la descente. Nous passerons demain ! | ||
| A 13 heures, c'est la descente de la double et la troisième écluse du Fresquel. Il reste heureusement des éclusiers très sympathiques. Ce ne sera pas le cas à la triple de Trèbes. Au point que les canadiens qui bassinent avec nous, nous dirons "Ne plus vouloir revenir en France" |  |
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A l'écluse Saint Jean, N° 41, l'éclusier n'est pas à son poste. Il reviendra juste avant 11 heures pour faire passer les deux bateaux touristiques. Quand les plaisanciers préfèrent les écluses automatiques... ! | ||
| Nous hésitons à nous arrêter pour prendre un peu de charbon de bois, pour le barbecue... |  |
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Sous l'écluse, au cœur du vignoble, nord-ouest de Carcassonne, cépage : "Je donne ma langue au chat" me dira Kat. L'équipage féminin ira faire les vendanges "tardives" |
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| Nous rentrons dans notre dernière écluse de la journée : La Douce, N° 39, préférant dormir loin de la ville et du bruit de la ville de Carcassonne |  |
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Henri avait prévenu "Arrêtez-vous à l'écluse de La Peyruque, il y a des tartes aux citrons à tomber par terre". Hélas ce jour, par l'ombre d'une à 11:10 heures !
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| Voilà la première écluse et son pont bas franchies, ils seront nombreux durant cette journée, sans toucher |  |
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Un arrêt à Castelsarrasin pour un ravitaillement, sans oublier le cassoulet pour le soir et reprenons la série d'écluse | ||
| Le chancre coloré continue à tuer les platanes. Ceux-ci sont abattus pour éviter la prolifération. On replante mais personne ne vérifie la bonne reprise... Un désastre ! |  |
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Dans une autre écluse, la pierre de couronnement porte la date de 1739 | ||
| Je suis surpris par la quantité d'eau envoyée dans les biefs, l'eau passe au dessus des portes. |  |
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Encore beaucoup de bateaux de location sur le canal du Midi. L'éclusier de Laurens, N°20, n'hésite pas à croiser les bateaux montants et descendants. | ||
| La double écluse du Roc, N° 19, possède toujours son abreuvoir à chevaux |  |
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Nous en profitons pour réviser l'alimentation du canal du Midi, à cette époque de l'année. La majorité de l'eau arrive depuis le barrage de la Ganguise | ||
13:00 heures, pas de feu ! Surprise V.N.F fait grève ;-( |
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Nous arrivons à 12:18 heures, devant l'écluse de l'Océan, N° 1, notre derrière montante. Nous décidons de déjeuner avant de repartir. Sur le canal du Midi la pause méridienne est de rigueur, entre 12:00 et 13:00 heures, malgré l'automatisme. Allez savoir pourquoi ? | ||
| Nous passons la double écluse d'Encassan, N° 2. La température et le soleil nous promettent une agréable journée |  |
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Nous quittons Gardouch, après avoir passé une agréable soirée avec nos amis Bernard et Nicole. Nous laissons derrière nous l'automoteur "La Réole" au fond de l'eau | ||
| Nous passons l'écluse de Gardouch et choisissons de passer la nuit à la campagne |  |
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Nous aurons le plaisir de partager quelques écluses avec un "little ships" ayant participé à l'opération Dynamo, avec Steve |
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| Le canal du Midi nous offre toujours à la sortie de Toulouse son ombrage avec sa voûte des platanes |  |
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Nous quittons les pontons du port Saint Sauveur en laissant derrière nous la statue en hommage à Pierre-Paul Riquet | ||
Journée du patrimoine... Exposition de photos et conférence autour du canal des Deux Mers... un rien me retient. Samedi sera sans navigation. Journées européennes du Patrimoine 2022 - Le port Saint-Étienne est un endroit majeur pour le canal du Midi dominé par le château du canal, les archives et les anciens entrepôts. |
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Le port Saint Sauveur sera notre étape du jour, accueil très sympathique et serviable | ||
| L'écluse de Bayard avec ses 6.20 mètres et ses bollards flottants ne sera qu'une formalité. Prenons le temps d'admirer le lampadaire au format "croix du Languedoc" |  |
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L'écluse du Béarnais, N°1, nous ouvre le canal du Midi | ||
| Une "ancienne" usine électrique remis au goût du jour par de nombreux tags |  |
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Nous aurons emprunté cinquante et une écluses depuis le départ et terminons par l'écluse de La Lande, N°1 | ||
| La piste cyclable partagée passe du noir au blanc. Avec le réchauffement climatique ;-) les utilisateurs auront moins chaud |  |
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Après avoir franchi l'écluse de L'Hers, N° 7, on profitera du cadre verdoyant. Demain, on franchira la section la plus désagréable visuellement, du canal de Garonne, jusqu'au pont de l'Embouchure à Toulouse. Max prendra des nouvelles du convoyage. Merci à lui ! | ||
| L'écluse d'Embalens, N° 9, sera notre première écluse |  |
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Lorsque qu'on est à demeure le long d'une berge, il faut produire sa propre électricité, tant pis pour l’esthétique | ||
| Parfois, nous sommes surpris par de drôles d'engins, circulant sur la piste cyclable |  |
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Il est 18:30 quand un orage s'abat juste avant le pont de Dieupentale. L'amarrage se fera sous la pluie. Quelque temps plus-tard, le bateau sera remis à neuf grâce à un bon lavage, il en avait vraiment besoin | ||
| Il en est de même, à l'écluse de Montech, N° 11 |  |
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La ville de Montech adopte les couleurs de la pente d'eau, toujours surprenant. | ||
| De l'écluse de Prades, N° 18, nous ferons route avec des lyonnais, qui avaient loué leur bateau, un Nicol's, chez Aquitaine Navigation, une base à recommander |  |
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Nous quittons le Chantier Fluvial de Castelsarrasin, après y avoir fait le plein du bateau, pour regagner Saint-Jean-de-Losne. | ||
| Nous sortons de l'écluse à 19:03 heures. Encore un panneau oublié depuis 2002... Il serait presque temps de lui faire un brin de toilette... par la ville ? le port ? ou V.N.F ? Ah le mille-feuille cela a du bon pour ne rien faire ! |  |
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Après avoir traversé Moissac, nous voilà en approche du pont-canal du Cacor, un incontournable avec ses 356 mètres | ||
| Cette drague oubliée le long de la berge, n'attend pas qu'on la remette en service, mais qu'on l'accompagne au déchirage |  |
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"La poésie est de toutes les eaux claires celle qui s'attarde le moins aux reflets de ses ponts" | ||
| Nous franchissons un nouveau pont-canal sur la Barguelonne, tout proche de la centrale de Golfech. Elle nous fabrique quelques nuages avec des gouttes de pluie |  |
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Au petit matin, chacun fait ses mouvements d'assouplissement | ||
| Il est 18:30 lorsque nous franchissons le pont-canal d'Agen. Il sera 20 heures lorsque nous retrouverons plusieurs amis au port de Boé, la péniche Rosa en escale et Cyril et Laurence, des habitants du port. |  |
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Une halte à Buzet, pour le ravitaillement en vin rosé. Un grand merci au SPAR qui est resté ouvert pour que je puisse garnir la cave du bateau. On franchit la Baïse par le pont canal. Il est l'heure, espagnole, pour déjeuner un peu plus loin. | ||
| Lorsque je navigue, j'apprécie toujours les belles demeures qui bordent les canaux |  |
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A la première écluse, je constate que l'hiver sera froid "Homme blanc coupe du bois..." Et le rucher est prêt à déménager... Plus au sud ? | ||
| Notre première escale sera à la base Le Boat du Mas-d'Agenais, pour y faire le plein de gas-oil, lundi matin. Prévu 600 litres, hélas seulement 188.90 litres délivrés. Je repars confiant. |  |
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A Fourque-sur-Garonne, une pensée pour Raymond, le capitaine de l'Aldébaran, repose en paix, sous ton sapin l'ami. | ||
| Le canal de Garonne possède encore ses platanes, nous abritant du soleil. Le fanion de l'A.N.P.E.I nous indique la direction du vent, nous naviguons sereinement |  |
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Nous longeons la Garonne, son niveau est presque comme d'habitude durant la saison estivale. | ||
| Nous sommes le 11 septembre 2022, il est 10 heures, nous quittons le port de Castets. Le capitaine, Pierre, viendra me prendre les amarres et lancer la bassinée. Un grand merci et un au revoir ! |  |
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11 septembre 2022 au |
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Canal du Midi : Toulouse - Le port de l'embouchure et les ponts jumeaux : Un site emblématique du canal du Midi
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